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mercredi 26 janvier 2011

Acceptation sociale

Ce week-end, je suis allé à Trèsloin-village, à plus de 3 h de TGV de notre belle capitale de la Gaule.
Je profite de ces longs trajets en train pour voir les nombreux films que j'ai acheté, ou que des amis m'ont recommandé.

J'ai ainsi commencé à regarder "Baise-moi", de Virginie Despentes. Jusqu'au premier arrêt de TGV, il n'y avait presque personne dans le wagon, et .. tant mieux !
Personne ne m'avait prévenu sur le caractère cru du film. Avec des gros plans et tout.
Le film fait d'ailleurs partie des films non pornographiques contenant des actes sexuels non simulés.

Dès la première étape du trajet, le wagon s'est rempli de nouveaux voyageurs, et il devenait plutôt gênant de continuer à regarder. Je me suis arrêté juste après le viol dans le hangar. J'vous raconterai la fin quand je la verrai.

Du coup, j'ai continué avec le film "Démineurs". Un bon film de guerre, avec un vrai mec viril qui fait péter la gueule à des méchants et qui fait rentrer ses mains dans un cadavre d'enfant pour y chercher des explosifs.

Ce qui est socialement beaucoup plus acceptable.

mardi 3 novembre 2009

Un tout petit changement qui me plait bien

J'ai remarqué ce matin par hasard (dans le train, on a le temps, précieux temps) que la face des pièces en euros récentes étaient différentes des plus anciennes.



Ainsi d'abord une pièce de 20 centimes "ancienne",









et une "nouvelle", de celles qui brillent encore dans les portemonnaie :


Vous voyez la subtile différence ?
Ben ouais, l'Europe est représentée désormais en entier (moins la partie européenne de la Turquie, no comment), et non plus les seuls États de l'Europe des quinze. Désormais on inclut même la Suisse !
C'est un tout petit rien, mais palpable pour tout le monde, et qui me plaît bien.

Le changement a en fait été décidé en 2005, suite au grand élargissement de 2004.

jeudi 6 novembre 2008

Lyon - Paris - Lyon

Réunion à Paris aujourd'hui, et avec juste 2h de TGV, j'ai presque l'impression de prendre un RER de luxe (et en plus il était à l'heure).

Après cette réunion, il me restait une heure... alors je suis allé voir un ami très cher dans le 9e. Très content de le revoir, même si l'on a pas eu beaucoup de temps pour discuter.

Mais en repartant dans le métro pour rejoindre la gare, je me suis dit que je devenais un vrai Lyonnais. Lyonnais au sens du célèbre Calixte, Introduction à la vie lyonnaise, de Jean Dufourt. Un Lyonnais qui va s'encanailler à la capitale et redevient sérieux dès que les collines du Beaujolais sont en vue.
Ceux qui l'ont lu sauront de quoi je parle ;-)

Et puis j'aime bien l'idée d'aller Gare de Lyon pour aller à Lyon. Depuis que la gare d'Orléans n'est plus qu'un musée, c'est la seule ville ayant une gare à son nom (y'a d'ailleurs pas de gare de Paris à Lyon).

jeudi 31 juillet 2008

SNCF.fr, élu site le plus mal foutu du web.

(par un panel de visiteur parfaitement représentatif, bien sûr)

Aujourd'hui, je vous propose quelques petits exercices :


Allez sur le site www.sncf.fr, et :
- cherchez un train de nuit, Lyon-Nantes.

- Passez un coup de fil à votre ami nantais pendant la réservation pour savoir si l'horaire que vous avez choisi lui convient SANS que la session soit remise à zéro.

- saisissez votre numéro de grand voyageur une fois un billet de train choisi (attention, il y a un piège !).

- Essayez ensuite d'acheter un billet (n'importe lequel) en moins de 2 minutes, un peu comme à une borne de gare, en fait.

- trouvez l'horaire du train de votre mari qui arrive de Tours par un corail cet après midi.

- trouvez le prix d'un trajet Lyon-Toulouse "pour se faire une idée" parcequ'un copain vous a proposé de venir le voir un jour et que vous vous dites "pourquoi pas, mais ca coûte combien ?", sans connaitre la date de départ sinon c'est tricher.

Une fois que vous aurez fait tout ça, du premier coup, bien sûr, dites-moi comment vous avez fait pour ne pas y passer un temps largement supérieur au temps que vous accepteriez de passer pour acheter... un billet de train.

Pendant très longtemps, autant que cela a été possible en fait, j'ai continué à me servir du minitel 3615 SNCF. Les horaires étaient accessible directement, les commandes simples, et c'était beaucoup plus rapide. Une bien belle invention, le minitel.


Edit : J'ai écrit ce billet avant que les serveurs de la sncf ne tombent en panne, c'était une attaque purement gratuite. Gnark gnark gnark, que je suis méchant.

jeudi 13 mars 2008

Petit aller-retour à la montagne

Après une semaine bien éprouvante, j'ai rejoint Erwan à La Plagne. 3h en Corail... en théorie ! puisque le voyage a duré en fait 4h15, à cause d'une motrice qui déglingué les caténaires... J'ai dû attendre une heure et quart en gare de St Pierre d'Albigny (entre Chambéry et Albertville) qu'une motrice diesel arrive pour nous emporter jusqu'à Aime.

Arrivé là-haut, heureux de retrouver mon amoureux, et les copains.
Dîner sympa entre amis, dans le grand salon d'un véritable chalet, cheminée crépitante, les baies vitrées découvrant la vallée recouverte de neige.
Et une animation inattendue : des anglais du chalet voisins... à poil dans la neige !
On s'est tous mis au balcon pour encourager les deux malheureux de boules de neige, en visant bien évidemment les parties les plus sensibles.

Après enquête auprès d'un de ceux qui étaient habillés (j'ai pas demandé au plus moche...) : c'était le gage suite à une partie de Trivial Pursuit bien arrosée de bière.

Mercredi, on s'est payé une grâce matinée puis un très long petit déjeuner face à la neige tombante. Petite promenade le long des pistes. Retour au chalet à cause du temps (neige et vent fort), déjeuner tranquille avec les copains, et retour sans anicroche jusqu'à Lyon.

Alors plutôt que de mettre une image de vallée enneigée comme on voit voit des millions, voici des frondaisons de sapins en négatif, la vue depuis la cuisine en faisant la vaisselle.

mercredi 30 janvier 2008

Lyon-Nice

Même en convalescence, je devais aller à ce congrès à Nice. Alors j'ai pris le tramway à Perrache pour la Part-Dieu... sauf qu'il y avait la manif des taxis, j'ai dû descendre à Guillotière pour prendre le métro D puis le B. Heureusement que je m'étais gardé un peu de marge, j'ai eu le TGV.
Rapide jusqu'à Marseille St Charles, puis TER pour Nice-ville.
Un vieux train moche, sans porte entre la plateforme et le compartiment, et sans chauffage... pendant deux heures et demi.

Comme ça sur l'image, ça a l'air douillet... mais c'est sinistre, tendance gris clair sur gris foncé, odeur de poussière, sans inclinaison, sol plastique noir, et éclairage néon. Un vrai vestige soviétique.


Du coup, impossible de dormir, car en plus ce TER s'arrête à La Ciotat, Toulon, Draguignan, St Raphaël, Cannes, Antibes, et enfin Nice.
Je bénis d'avance mon retour en TGV direct.

Arrivé à Nice, la ville est franchement moche, sale, agressive. Mais je trouve mon hôtel facilement grâce aux indications d'Erwan.
J'y suis bien accueilli, c'est calme, chaud et moelleux.
Et quand je suis ressorti pour trouver à manger :

Bon, ben ça fait du bien. La vendeuse est très sympa, et j'en ai bien foutu partout sur mon plateau comme il se doit chez Subway.

samedi 22 décembre 2007

Ce que je lis en ce moment

de Bruno

Demain, je prends un train direct Lyon-Tours pour aller rejoindre toute ma famille pour Noël. Ce n'est pas un TGV, mais un "train" (pas de précision sur le billet), et donc le voyage dure plus de cinq heures. C'est beaucoup mais c'est de très loin la forme la plus agréable et écologique pour faire ce trajet. Et puis j'aime beaucoup voyager en train, a fortiori dans des train à vitesse moyenne. J'espère juste qu'il ne sera pas plein de gosses hurlants...

Alors je vais justement prendre avec moi, les deux livres qui m'accompagnent en ce moment, et qui n'ont rien à voir.

Seconde Fondation, d'Isaac Asimov, la troisième partie du cycle de Fondation. En poche chez folio SF.

Les Cinq Girouettes, de Jean-Louis BORY, en une édition Ramsay de 1979 que j'ai trouvée à la braderie des livres sur la place Bellecour il y a un mois. C'est une biographie de Cambacérès.

Deux livres qui n'ont vraiment rien à voir, ce qui évite certains mélanges de récits comme j'en ai vécu en lisant plusieurs livres de science-fiction du même genre dernièrement.