Il fait froid, pas la peine de le répéter, c'est ce que l'on raconte à chaque voisin dans l'ascenseur (ah les conversations d'ascenseur !), à chaque nouveau client qui rentre dans la boutique, à chaque bel inconnu qui rentre dans le bar, etc.
Mon arme, c'est d'abord ma doudoune noir mat. Je précise mat parce que je trouve les doudounes noir brillant vraiment vulgoss'... (on est peu de choses). Blouson que j'ai acquis à Turin en mars dernier, non pas parce que c'est là qu'on trouve les meilleures doudounes (de la marque étasunienne à la virgule, fabriquée en RPC), mais parce que j'avais eu un accident lors d'une étape pique-nique dans une vallée verdoyante...
A faire : se procurer le guide Comment chier dans les bois : j'adore ce diaporama du Monde, simple, drôle et efficace.
Mais quand la doudoune ne suffit plus, il y a ma chapka !
D'ailleurs, je ne devrais pas dire chapka mais ouchanka, qui est l'appellation correcte de ce chapeau d'origine russe (cf. l'article complet sur wikipedia).
J'avais acheté la mienne je-ne-sais-plus-où, il y a déjà pas mal de temps, avant mon premier voyage au Québec en janvier 1998.
Le secret tient la forme et les poils (toujours les poils...).
Et la magie de la chapka, c'est son adaptabilité aux degrés de froidure (cf. photos ci-contre).
Position de base, les oreilles repliées et accrochées sur le dessus, c'est la position la plus chicà mon avis, parfaite sur le quai d'une station de tramway, dans la rue Edouard Herriot, en entrant dans le Station B, etc.
La seconde position, oreilles relachées, dite "Pluto". Bien pratique quand ça commence à vraiment cailler, que le vent glisse dans le cou et transforme les oreilles en glaçons. C'est bien pour les froids diurnes en ville.
La troisième position, oreilles attachées sous le menton, est franchement moche. C'est celle qu'il faut adopter de nuit seulement (pour ne pas risquer d'être reconnu), dans une pluie de neige mouillée, sur un trottoir à Rilleux, Vaulx ou Vénissieux, ou encore sur un Vélov en rentrant du Station B un vendredi soir à 3h du mat.
Mon arme, c'est d'abord ma doudoune noir mat. Je précise mat parce que je trouve les doudounes noir brillant vraiment vulgoss'... (on est peu de choses). Blouson que j'ai acquis à Turin en mars dernier, non pas parce que c'est là qu'on trouve les meilleures doudounes (de la marque étasunienne à la virgule, fabriquée en RPC), mais parce que j'avais eu un accident lors d'une étape pique-nique dans une vallée verdoyante...
A faire : se procurer le guide Comment chier dans les bois : j'adore ce diaporama du Monde, simple, drôle et efficace.
Mais quand la doudoune ne suffit plus, il y a ma chapka !
D'ailleurs, je ne devrais pas dire chapka mais ouchanka, qui est l'appellation correcte de ce chapeau d'origine russe (cf. l'article complet sur wikipedia).
J'avais acheté la mienne je-ne-sais-plus-où, il y a déjà pas mal de temps, avant mon premier voyage au Québec en janvier 1998.
Le secret tient la forme et les poils (toujours les poils...).
Et la magie de la chapka, c'est son adaptabilité aux degrés de froidure (cf. photos ci-contre).
Position de base, les oreilles repliées et accrochées sur le dessus, c'est la position la plus chicà mon avis, parfaite sur le quai d'une station de tramway, dans la rue Edouard Herriot, en entrant dans le Station B, etc.
La seconde position, oreilles relachées, dite "Pluto". Bien pratique quand ça commence à vraiment cailler, que le vent glisse dans le cou et transforme les oreilles en glaçons. C'est bien pour les froids diurnes en ville.
La troisième position, oreilles attachées sous le menton, est franchement moche. C'est celle qu'il faut adopter de nuit seulement (pour ne pas risquer d'être reconnu), dans une pluie de neige mouillée, sur un trottoir à Rilleux, Vaulx ou Vénissieux, ou encore sur un Vélov en rentrant du Station B un vendredi soir à 3h du mat.
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