Ce dimanche, on a invité Berserck et Rafoo à déjeuner.
La journée a donc commencé par le marché Bayard -en tant que clients cette fois -, un petit détour au bureau de vote, et une longue préparation en cuisine.
Dans l'après-midi, digérant la mousse d'avocat à la crème, le canard tué par mes soins et cuisiné par Bruno, arrosé du Col d'Orcia de Bersersk, les fromages, puis les gâteaux du Rafoo, nous avons commencé une partie d'El Grande.
Spontanément, les jeux de société, c'est pas trop mon truc, et j'ai du mal à me motiver à passer du temps à étudier les effets d'un dé sur la destinée d'un pion, ou la théorie des jeux sur les probabilités de sorties des cartes au poker.
Ce qui est très différent dans El Grande, c'est la quasi absence de hasard.
Il n'a pas remporté le "Spiele des Jahres" pour rien, puisque ce jeu a inventé le concept de jeu de majorité (et son concepteur, Wolgang Kramer, à remporté 5 fois ce prix).
Pour gagner des points, il faut juste placer des pions aux bons endroits aux bons moments.
Tout le monde a les mêmes chances, les mêmes pions, les mêmes cartes, et décide de sa stratégie qui évolue selon les décisions des adversaires. Le déroulement est donc uniquement dû à la confrontation des choix des joueurs.
La (petite) part de hasard se joue au départ, lors du placement initial des 2 premiers pions, ce qui peut être un avantage, mais est généralement sans grande incidence sur l'évolution du jeu.
La preuve, je gagne (presque) tout le temps ;-)
Il existe des extensions à ce jeu, mais elles sont toutes épuisées... Si quelqu'un sait où s'en procurer (par exemple, celle-ci, qui est jouable de 12 à 120 ans - c'est vrai que 77 ans, c'est un peu jeune pour être gâteux de nos jours), on est preneurs !
...et si vous voulez jouer, faites signe ! On vous invite !
La journée a donc commencé par le marché Bayard -en tant que clients cette fois -, un petit détour au bureau de vote, et une longue préparation en cuisine.
Dans l'après-midi, digérant la mousse d'avocat à la crème, le canard tué par mes soins et cuisiné par Bruno, arrosé du Col d'Orcia de Bersersk, les fromages, puis les gâteaux du Rafoo, nous avons commencé une partie d'El Grande.
Spontanément, les jeux de société, c'est pas trop mon truc, et j'ai du mal à me motiver à passer du temps à étudier les effets d'un dé sur la destinée d'un pion, ou la théorie des jeux sur les probabilités de sorties des cartes au poker.
Ce qui est très différent dans El Grande, c'est la quasi absence de hasard.
Il n'a pas remporté le "Spiele des Jahres" pour rien, puisque ce jeu a inventé le concept de jeu de majorité (et son concepteur, Wolgang Kramer, à remporté 5 fois ce prix).
Pour gagner des points, il faut juste placer des pions aux bons endroits aux bons moments.
Tout le monde a les mêmes chances, les mêmes pions, les mêmes cartes, et décide de sa stratégie qui évolue selon les décisions des adversaires. Le déroulement est donc uniquement dû à la confrontation des choix des joueurs.
La (petite) part de hasard se joue au départ, lors du placement initial des 2 premiers pions, ce qui peut être un avantage, mais est généralement sans grande incidence sur l'évolution du jeu.
La preuve, je gagne (presque) tout le temps ;-)
Note de Bruno : Même pas vrai !!! Kisséki a gagné chez les Laurent-Billotte par exemple, hein ?...
Il existe des extensions à ce jeu, mais elles sont toutes épuisées... Si quelqu'un sait où s'en procurer (par exemple, celle-ci, qui est jouable de 12 à 120 ans - c'est vrai que 77 ans, c'est un peu jeune pour être gâteux de nos jours), on est preneurs !
...et si vous voulez jouer, faites signe ! On vous invite !
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