A paris, nous habitions dans 2 appartements, chacun chez soi.
Ca ne nous empêchait pas de nous retrouver tous les soirs l'un chez l'autre, mais on avait toujours ce confort de son jardin à soi, son [non] rangement à soi.
Dans les moments conflictuels, c'était extrèmement confortable, de savoir qu'à quelques centaines de mètres, un havre de paix existe, isolé de l'autre.
Et dans les moments de bonheur, c'est aussi très satisfaisant de se dire que si je suis là, avec lui, c'est que je le désire, et que lui aussi.
Depuis notre emménagement à Lyon, c'est chez nous, et plus chez moi. Ca implique des efforts, et une forme d'évidente présence, aussi légitime que la mienne. C'est rassurant de se savoir accompagné, mais est-ce que la volonté de vivre ensemble n'y perd pas de son sens ?
Est-ce que tu veux dormir avec moi ?
Ca ne nous empêchait pas de nous retrouver tous les soirs l'un chez l'autre, mais on avait toujours ce confort de son jardin à soi, son [non] rangement à soi.
Dans les moments conflictuels, c'était extrèmement confortable, de savoir qu'à quelques centaines de mètres, un havre de paix existe, isolé de l'autre.
Et dans les moments de bonheur, c'est aussi très satisfaisant de se dire que si je suis là, avec lui, c'est que je le désire, et que lui aussi.
Depuis notre emménagement à Lyon, c'est chez nous, et plus chez moi. Ca implique des efforts, et une forme d'évidente présence, aussi légitime que la mienne. C'est rassurant de se savoir accompagné, mais est-ce que la volonté de vivre ensemble n'y perd pas de son sens ?
Est-ce que tu veux dormir avec moi ?
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