(par un panel de visiteur parfaitement représentatif, bien sûr)
Ce week-end, on a reçu la visite de copains parisiens,comme prévu !
J'en ai profité pour aller visiter la retrospective Keith Haring du musée d'art moderne de Lyon, que Bruno avait déjà visité avec un autre ami de passage (Sébastien, à qui nous souhaitons tous nos voeux de bonheur dans sa nouvelle et fraîche ydille !).
Dès l'entrée du musée, le nombre anormalement élevé de garçons au m2 saute aux yeux.
Y aurait-il des oeuvres inconnues de Keith Haring attirant des hordes de supporters de foot ? Des fans de sport mécanique venu adorer la BMW Z1 recouverte des personnages ludiques et colorés de l'artiste (10km au compteur, à moins que ce ne soient des miles ?) ?
Non, rassurez-vous, tous - ou presque - sont homosexuels, l'honneur est sauf, Keith peut se retourner dans sa tombe en toute quiétude.
L'expo retrace sur 3 étages la plupart des styles qu'il a exploré : quelques feuilles à la craie décollées du métro new-yorkais, quelques vidéos qui retracent les œuvres inamovibles (fresques murales, morceau du mur de Berlin, hôpital de Monaco, etc..) et surtout toutes les aventures de ses personnages fétiches, les êtres filiformes détourés. Le dernier étage est dédié à l’œuvre phallique qu'il a exploré, ainsi qu'à un mur complet de polaroïdes agrandis pris lors des événements et soirées des "pop shop".
De quoi passer un bon moment, une après midi à se régaler les yeux tant par les œuvres que par le public.
A ce propos, ami parisien, ou ami voyageur, j'ai le nom, prénom, adresse, téléphone, mail et mensurations de cette somptueuse créature.
Faire acte de candidature sur erwanebruno(a)free.fr sous référence #Phil qui transmettront (peut-être)
Ce week-end, on a reçu la visite de copains parisiens,comme prévu !
J'en ai profité pour aller visiter la retrospective Keith Haring du musée d'art moderne de Lyon, que Bruno avait déjà visité avec un autre ami de passage (Sébastien, à qui nous souhaitons tous nos voeux de bonheur dans sa nouvelle et fraîche ydille !).
Dès l'entrée du musée, le nombre anormalement élevé de garçons au m2 saute aux yeux.
Y aurait-il des oeuvres inconnues de Keith Haring attirant des hordes de supporters de foot ? Des fans de sport mécanique venu adorer la BMW Z1 recouverte des personnages ludiques et colorés de l'artiste (10km au compteur, à moins que ce ne soient des miles ?) ?
Non, rassurez-vous, tous - ou presque - sont homosexuels, l'honneur est sauf, Keith peut se retourner dans sa tombe en toute quiétude.
L'expo retrace sur 3 étages la plupart des styles qu'il a exploré : quelques feuilles à la craie décollées du métro new-yorkais, quelques vidéos qui retracent les œuvres inamovibles (fresques murales, morceau du mur de Berlin, hôpital de Monaco, etc..) et surtout toutes les aventures de ses personnages fétiches, les êtres filiformes détourés. Le dernier étage est dédié à l’œuvre phallique qu'il a exploré, ainsi qu'à un mur complet de polaroïdes agrandis pris lors des événements et soirées des "pop shop".
De quoi passer un bon moment, une après midi à se régaler les yeux tant par les œuvres que par le public.
A ce propos, ami parisien, ou ami voyageur, j'ai le nom, prénom, adresse, téléphone, mail et mensurations de cette somptueuse créature.
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