Eh bien voilà, nous voulions faire juste une visite, goûter quelques vins et nous casser. Mais la gourmandise en a décidé autrement.
En arrivant, après avoir récupéré chacun notre verre estampillé, la première chose à faire afin de ne pas s'effondrer c'est : MANGER. Ça tombe bien, il y a de délicieux sandwichs aux pâtés de chevreuil et de sansonnet ("parce qu'on a plus le droit de commercialiser de la grive" dixit le vendeur).
Puis nous retrouvons nos amis qui achetaient du Languedoc (joli vigneron aux bras d'un blond cendré plein de chaleur). Deux caisses.
On se faufile dans les allées bien remplies (beaucoup de beaux gars) et en passant je vois un vigneron d'Auvergne : tiens, ils font du vin en Auvergne. On discute, on goûte, on discute, on goûte, on discute, on discute... un adorable couple (hétéro) d'auvergnats dont la femme va se faire poser une prothèse auditive et évidemment les chirurgiens ne lui ont même pas expliqué le fonctionnement de l'oreille... je fais un p'tit cours rapide, j'explique ce que c'est que "poser un appareil dans l'os du crâne"... (saleté de médecins)... et on prend deux caisses de Châteaugay (!).
On marche un peu... oh ! du Floc (de Gascogne). Mignon jeune couple (hétéro) de vignerons gascons, la femme très gentille nous fait goûter, le blanc, le rouge, puis un vin rouge, et un autre vin rouge... On prend du Floc blanc et du Floc rouge.
Paraît-il que les hommes préfèrent le rouge, les femmes le blanc. Ben moi j'préfère le rouge, mais en fait j'aime les deux (les deux Floc, pas les deux sexes)...
On remarche encore... oh ! un stand de foie gras du Périgord ! Aller hop, sandwich au foie gras ! Et puis on prend un lobe pour cet hiver tant qu'à faire...
Mais ouais, forcément, un sandwich seul, ça manque... de vin ! Mais v'là t'y pas qu'une vigneronne de Bordeaux fait du Sauterne. On préfère nettement le 2006, le 2004 est un poil trop léger.
Miam, ch'est bon...
Aller hop, maintenant (et maintenant Lyon...mouarf !) on rentre parce que c'est lourd tout ça, et pas question d'acheter le caddie à 39 €, parce que c'est trop cher et qu'on aura forcément envie de le remplir. Berserck et son nouveau mari sont en voiture et nous proposent de nous ramener. Cool. Le mari, qui conduit, n'a pas bu, ça tombe bien.
Retour chez nous, gais.
En arrivant, après avoir récupéré chacun notre verre estampillé, la première chose à faire afin de ne pas s'effondrer c'est : MANGER. Ça tombe bien, il y a de délicieux sandwichs aux pâtés de chevreuil et de sansonnet ("parce qu'on a plus le droit de commercialiser de la grive" dixit le vendeur).
Puis nous retrouvons nos amis qui achetaient du Languedoc (joli vigneron aux bras d'un blond cendré plein de chaleur). Deux caisses.
On se faufile dans les allées bien remplies (beaucoup de beaux gars) et en passant je vois un vigneron d'Auvergne : tiens, ils font du vin en Auvergne. On discute, on goûte, on discute, on goûte, on discute, on discute... un adorable couple (hétéro) d'auvergnats dont la femme va se faire poser une prothèse auditive et évidemment les chirurgiens ne lui ont même pas expliqué le fonctionnement de l'oreille... je fais un p'tit cours rapide, j'explique ce que c'est que "poser un appareil dans l'os du crâne"... (saleté de médecins)... et on prend deux caisses de Châteaugay (!).
On marche un peu... oh ! du Floc (de Gascogne). Mignon jeune couple (hétéro) de vignerons gascons, la femme très gentille nous fait goûter, le blanc, le rouge, puis un vin rouge, et un autre vin rouge... On prend du Floc blanc et du Floc rouge.
Paraît-il que les hommes préfèrent le rouge, les femmes le blanc. Ben moi j'préfère le rouge, mais en fait j'aime les deux (les deux Floc, pas les deux sexes)...
On remarche encore... oh ! un stand de foie gras du Périgord ! Aller hop, sandwich au foie gras ! Et puis on prend un lobe pour cet hiver tant qu'à faire...
Mais ouais, forcément, un sandwich seul, ça manque... de vin ! Mais v'là t'y pas qu'une vigneronne de Bordeaux fait du Sauterne. On préfère nettement le 2006, le 2004 est un poil trop léger.
Miam, ch'est bon...
Aller hop, maintenant (et maintenant Lyon...mouarf !) on rentre parce que c'est lourd tout ça, et pas question d'acheter le caddie à 39 €, parce que c'est trop cher et qu'on aura forcément envie de le remplir. Berserck et son nouveau mari sont en voiture et nous proposent de nous ramener. Cool. Le mari, qui conduit, n'a pas bu, ça tombe bien.
Retour chez nous, gais.
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